Conseils pour générer du trafic avec un blog B2B

Le blog est l’un des outils les plus recommandés en marketing B2B. Il vous permet de démontrer votre expertise, de prendre position, de présenter des cas pratiques, d’informer et de réagir sur l’actualité, pour vous positionner. 

Face à tant de liberté, il est très facile de s’éparpiller. C’est pourquoi, il est important de garder les objectifs de votre blog en tête et d’orienter le sujet des articles traités en fonction de ceux-ci. C’est comme cela que vous créerez du contenu utile.

Mais votre blog peut avoir une seconde fonction et vous aider à gagner en visibilité. On parle ici du trafic qu’il peut vous permettre de générer, et que vous pourrez réorienter sur votre site web.
 

Le blog, l’arme SEO pour être short listé sur des mots clés


L’un des moyens pour gagner en visibilité sur le web est de travailler son référencement naturel, aussi appelé SEO, qui permet de monter dans les résultats des moteurs de recherche type Google.

Parmi les bonnes pratiques SEO, il faut des pages avec une grosse quantité de contenu, et une récurrence de certains mots stratégiques, les fameux mots-clés. Difficile d’employer directement les pages de son site web à cette tâche, au risque de perdre en performance.

Le blog répond parfaitement à cette fonction et peut vous permettre, si vous l’optimisez SEO, de générer plus de trafic. Vous pouvez optimiser chaque article sur un mot-clé, pour maximiser vos chances d’atteindre les premières places des résultats sur celui-ci. À raison de plusieurs articles par mois, selon vos moyens, vous pouvez rapidement tenter de vous positionner sur une multitude de mots clés. 

Faites la promotion de vos créations


Créer un article de blog de qualité demande assurément du travail. Pour maximiser les résultats obtenus, déclinez au maximum vos articles. Créez des posts pour le
partager sur les différents réseaux sociaux, enregistrez une version vidéo ou audio, pour multiplier les supports possibles.

Une stratégie éditoriale bien élaborée vous aidera à cerner les différentes opportunités de communication, et à optimiser l’utilisation de chaque ressource.

 

Les partenariats et backlinks


Le nombre de blogs et de créateurs de contenu ne cesse d’augmenter. Trouvez des organisations ou influenceurs de votre industrie, et invitez les à partager vos contenus, et si possible à créer du contenu avec vous. L’objectif derrière cette stratégie est de croiser les communautés, pour que tous gagnent en visibilité. Une raison de plus pour créer du contenu à forte valeur ajoutée, qui suscitera l’envie de s’associer à votre image.

Il est également possible de répandre un peu partout sur le web le lien de vos articles. Chacun lien pointant d’un site vers le vôtre, est appelé backlink. Il vous permettra de capter une partie du trafic du premier site, et d’optimiser vos performances SEO.


Les formats qui font mouche

Certains sujets et formats sont plus propices que d’autres pour performer et attirer du trafic. Voici un éventail de sujets qui pourrait vous aider :

Rebondir sur l’actualité et partager vos créations : Utiliser votre blog pour rebondir sur l’actualité de votre secteur est un excellent moyen pour générer du contenu utile à vos réseaux sociaux. En les partageant sur ceux-ci, vous créez la possibilité d’attirer du trafic sur votre site.

Les tutoriels : Les tutoriels sont un excellent moyen d’attirer du trafic puisqu’ils ont pour ambition de répondre à la problématique d’une personne. Vous pouvez alors créer des tutos directement en relation avec l’utilisation de vos produits, plutôt destiné à vos clients. Ou alors choisir des sujets propres à votre secteur/industrie. Ici, vous atteindrez les prospects froids, situés encore tout en haut de votre entonnoir de vente.

Les listes, aide-mémoires et check list : À l’image des tutos, vous accompagnez vos clients dans la réalisation de leur projet avec des listes de bonnes pratiques, de choses à ne pas oublier, de bénéfices, de stats et données… Les formats type liste, check-list, Top 10… rencontrent souvent beaucoup de succès, et attirent rapidement l’attention des internautes. Un format à ne pas sous-estimer donc.

Étude de cas, success stories et interviews : partagez et présentez vos victoires. Vous aidez vos clients ? Alors dites-le à vos prospects. Profitez-en pour présenter et démontrer vos méthodes de travail, votre expertise. Aidez vos lecteurs à se projeter, qu’ils se visualisent travailler avec vous, et les résultats qu’ils pourraient obtenir. Véritable outil de conversion plus que d’attraction vous pouvez parsemer vos autres articles et pages de vente de ces success stories, pour renforcer votre crédibilité ainsi que votre position d’expert dans l’industrie.

Vous souhaitez construire ou optimiser les performances de votre blog B2B ? Faites confiance à Eckert Mathison pour concevoir un plan éditorial et créer des articles et ressources marketing à très haute valeur ajoutée. Contactez-nous dès maintenant et bénéficiez de notre expertise en inbound marketing.  

 

Comment écrire des titres accrocheurs et efficaces ?

L’écriture de titres efficaces est essentielle pour que votre stratégie de contenu soit concluante. Sans des titres suffisamment accrocheurs, vous risquez de mettre en péril votre stratégie de contenu. Car même un contenu d’une immense qualité, s’il n’est pas consulté n’aura aucune utilité.

Alors, comment s’assurer que ses contenus soient lus et comment écrire un titre efficace ? C’est ce dont nous allons discuter dans cet article.

 

Faire une promesse irrésistible


Si vous voulez que vos contenus soient lus, faites comprendre à vos potentiels lecteurs ce qu’ils ont à gagner à vous lire. Vous devez réussir à susciter l’intérêt dès le premier coup d’œil.
Soyez surprenant, choquant, inattendu, faites des promesses qu’ils ne pourront pas refuser.

Mais assurez-vous surtout, de toujours être en mesure de répondre à cette promesse. Il est essentiel que votre audience retrouve dans le contenu de l’article l’information qu’elle est venue chercher à la lecture du titre. Si vous ne le faites pas, vous risquez de passer à côté d’une partie de votre trafic, qui ne découvrira jamais votre ressource.

Dans le cas contraire, vous risquez de frustrer vos visiteurs à cause d’un titre trop aguicheur, aussi appelé « putaclic », le faisant fuir à jamais.

Il s’agit donc de trouver un équilibre entre promettre et décevoir. Pour vous faciliter la tâche, n’hésitez pas à jouer sur les mots, les angles, pour surprendre votre audience et lui offrir la valeur recherchée.

 

Un bon titre doit être court


Un bon titre, c’est aussi un titre court. Ici on rejoint le point précédent, inutile de trop en dire.

Votre titre doit être percutant. Privilégiez donc les verbes d’action, et supprimez les termes superflus : chaque mot doit avoir son utilité.

Cela se traduit par des titres compris généralement entre 6 et 12 mots, et qui permettent de comprendre en un coup d’œil le sujet du contenu.

Si ce n’est pas une obligation, votre titre sera souvent le même que votre méta-titre (titre sur les moteurs de recherche), et celui-ci ne peut pas excéder 90 caractères, au risque de ne pas s’afficher convenablement. Ce peut donc être un bon repère pour s’assurer de garder des titres courts et efficaces.


Un bon titre doit être vague


Un bon titre est un titre vague. Il doit en dire suffisamment sur son contenu pour
attirer l’attention sans pour autant en dire trop, de façon à susciter la curiosité pour la lecture de l’article. Evitez donc de mettre des informations trop détaillées dans votre titre, au risque qu’il ne soit pas consulté.

Par exemple, si vous avez une information clé, un chiffre précis que vous savez recherché, ne l’indiquez pas tout de suite dans le titre, mais plutôt à la fin de l’article. Au risque, que les visiteurs potentiels ne consultent même pas votre site.

Vous pouvez communiquer un chiffre choc qui attirera l’attention dans le titre mais conserver l’essentiel de vos informations dans le corps de votre article. Cela évitera à la fois de trop charger vos titres et vous permettra de récompenser vos lecteurs.


Tirer parti de la ponctuation et de la structure de vos titres

Il est possible pour un même sujet d’orienter l’angle. Ainsi, le titre de cet article aurait pu connaitre de nombreuses variantes possibles, par exemple :

  • Découvrez le guide ultime pour écrire des titres efficaces
  • Pourquoi vos titres vous empêchent de décoller
  • Les erreurs qui rendent vos titres inefficaces
  • 5 techniques pour améliorer l’efficacité de vos titres
  • 10 copywritters nous livrent leurs techniques pour écrire des titres efficaces

Enfin n’oubliez pas que vous pouvez également tirer parti de la ponctuation pour jouer sur le sens de votre titre. Les virgules, points d’interrogations, d’exclamations… peuvent vous permettre d’altérer le sens, ou d’insister sur  un terme, un point, par exemple :

[e-commerce] Pourquoi vos titres vous empêchent de décoller ?


Profitez de l’effet d’aura autour des marques et noms connus

Si le sujet de votre article traite de personnalités ou de marques connues, n’hésitez pas à inclure leur nom dans votre titre. Ces noms génèrent un tel intérêt que leur simple mention suffira à attirer des lecteurs. Puisque vous parlez d’eux il n’y a donc aucune raison de se priver de l’audience supplémentaire qu’ils vous apporteront. Cela n’en rendra votre titre que plus efficace.

Vous développez une stratégie de contenu ? Contactez Eckert Mathison dès maintenant, pour obtenir de l’aide dans la création de vos ressources et dispositifs marketing à haute valeur ajoutée !

Le plan 30-60-90 jours, ce qu’il faut savoir

Le marketing nous pousse à travailler simultanément sur de nouvelles stratégies et à s’adapter sans cesse aux nouvelles tendances. Si ce renouveau constant est captivant, il peut parfois vous éloigner de votre réel objectif. Pour aligner vos efforts avec vos objectifs, la méthode 30-60-90 jours peut s’avérer très utile.

La méthode 30-60-90 jours, késaco ?

Le plan 30-60-90 cible les premiers jours d’un projet avec une étape d’analyse tous les 30 jours. Cela permet de rendre ces 3 premiers mois productifs.

Ce plan doit mettre en avant les objectifs que vous vous êtes fixés, via vos efforts marketing sur une période de 3 mois. Il définit également les tactiques à mettre en place pendant cette période afin d’atteindre vos objectifs. En tout, il doit inclure : 

  • L’objectif que vous vous êtes fixé
  • L’analyse de votre stratégie actuelle et les actions pour atteindre cet objectif
  • Vos objectifs marketing clés
  • Les actions qui vous aideront à atteindre ces objectifs
  • Les partis responsables, en interne comme en externe
  • Un planning
  • Les mesures du succès

Définir vos objectifs

La première étape est donc de définir votre objectif, il vous faut donc considérer votre rôle dans la croissance de votre entreprise. Êtes-vous en charge d’augmenter les revenus de votre entreprise, en charge d’une certaine zone géographique ou encore de développer une ligne de produit ? C’est à partir de là, et en gardant à l’esprit un objectif atteignable avec les ressources et le calendrier imposé, que vous pourrez définir votre ligne de conduite. 

Faire un bilan de vos performances

Une fois l’objectif définit, analysez votre progression actuelle vers cet objectif et identifiez les points bloquants vous empêchant de l’atteindre. Pensez notamment à identifier les points faibles de votre parcours d’achat.

Mettre en place le plan 30-60-90

Votre situation actuelle et votre objectif en main, il ne vous reste plus qu’à déterminer comment parcourir le chemin restant. C’est ici que le concept des 30-60-90 jours rentre en jeu. Déterminez les tâches que vous devez réaliser durant chacun des trois mois. Définissez également les parties prenantes de chaque tâche afin d’avoir une vue d’ensemble de votre stratégie et de pouvoir prévenir les points bloquants. Par exemple, si une personne doit terminer une tâche avant que la suivante puisse commencer, cette seconde tâche sera retardée si la première prend du retard. Il vaut alors mieux assigner une autre personne à cette seconde tâche pour éviter tout risque de retard.

Cette approche vous permettra d’établir un plan robuste sur plusieurs mois et d’avoir une vue d’ensemble sur vos différentes stratégies tout en gardant à l’esprit votre objectif. Enfin, cette structure est particulièrement efficace pour les entreprises opérant selon un calendrier trimestriel puisque les 90 jours peuvent parfaitement se calquer sur le calendrier opérationnel de l’entreprise.

L’importance de l’expérience utilisateur dans le SEO

L’importance du SEO n’est un secret pour personne : au mieux votre site est référencé, au plus il génère de trafic et donc, offre davantage d’opportunités de convertir des visiteurs en clients. S’il existe de nombreuses techniques pour améliorer son SEO, l’une d’entre elle est néanmoins encore trop souvent négligée : l’optimisation de l’expérience utilisateur, ou UX.

Améliorer l’expérience utilisateur

L’expérience utilisateur représente la qualité de l’expérience vécue par les utilisateurs lorsqu’ils naviguent sur un site web. Pour avoir une UX de qualité, il faut se poser les bonnes questions : peut-on facilement naviguer à travers les différentes pages ? Les temps de chargements ne sont-ils pas trop longs ? Le design de mon site est-il assez clair et aéré ? 

Améliorer votre expérience utilisateur aura alors le double avantage de rendre votre site à la fois agréable pour l’utilisateur, mais aussi d’améliorer votre référencement, soit deux facteurs qui peuvent vous aider à convertir.

L’expérience utilisateur : un atout pour votre référencement

Dans les faits, les moteurs de recherche ne dévoilent pas leur algorithme, il est donc difficile de savoir quels paramètres sont pris en compte dans le référencement des sites web. Toutefois, on est certain d’une chose : la qualité du contenu et l’expérience utilisateur ont un rôle à jouer dans votre référencement. On sait par exemple que les sites web les plus performants sur mobile et ayant des temps de chargement faibles, sont favorisés par les moteurs de recherche.

Quand vous souhaitez améliorer l’expérience utilisateur de votre site web, la première étape est donc de réduire les temps de chargement. Pour y parvenir, réduisez la taille des fichiers, diminuez le nombre d’éléments sur votre page, réduisez le temps de réponse de votre serveur et hébergez vos vidéos sur des plateformes externes. 

L’expérience utilisateur passe également par l’organisation de votre site web. Utilisez une structure et des titres clairs pour faciliter la navigation et aider Google à comprendre l’organisation de votre site. Cette meilleure structure vous aidera également à réduire votre taux de rebond, un autre indicateur pris en compte par Google dans le référencement de votre site. Le bounce rate indique le taux de visiteurs quittant votre site sans avoir accédé à une autre page que celle par laquelle ils sont entrés. Une bonne structure et des call to action amèneront vos visiteurs à naviguer davantage sur votre site et donc mécaniquement réduire votre taux de rebond. Cela a également l’avantage d’allonger la durée des sessions de vos visiteurs, un autre indicateur pris en compte par Google.

Vous l’aurez donc compris, améliorer l’expérience utilisateur de votre site n’a que des avantages. Et si l’on pourrait croire que rien ne sert de l’améliorer tant que l’on n’a que peu de trafic, ce serait se tromper, car une meilleure expérience utilisateur contribue à un meilleur SEO.

L’autorité de domaine, ou comment quantifier ses performances SEO gratuitement

L’autorité de domaine est un bon indicateur pour comprendre comment votre site web se classe par rapport à celui de vos concurrents. En effet, cet indicateur a été conçu pour vous aider à prédire le classement probable de votre site web dans un moteur de recherche. Attention toutefois, il n’est pas directement utilisé par Google.

Qu’est-ce que l’autorité de domaine ?

Il s’agit d’un score compris entre 1 et 100, qui indique à quel niveau se situent vos performances. Plus le score est élevé, plus votre SEO est performant et a de chance d’obtenir un bon classement dans les pages de résultat d’un moteur de recherche. Ce score est calculé à l’aide d’un modèle de machine learning prédictif prenant en compte différents facteurs tels que la qualité des backlinks, le nombre de domaines référencés, le classement des keywords ainsi que d’autres méthodes de SEO tels que l’optimisation des pages et des métadonnées.

Se positionner face à la concurrence

Bien que cet indicateur ne soit pas utilisé par Google, il reste très utile pour avoir une idée de ses performances. Afin de bien comprendre votre score, il faut le mettre en perspective face au score de vos concurrents. En effet, il est possible que votre score sur une requête donnée soit faible, mais qu’il soit relativement élevé comparé à celui de vos concurrents. Dans ce cas, vous apparaîtrez avant eux dans les résultats du moteur de recherche. Gardez à l’esprit que selon les industries, les scores sont plus ou moins hauts.  Certains secteurs référencés par des sites à forte autorité tels que Forbes ou Wikipedia, bénéficieront d’un score boosté, tandis que d’autres tels que des restaurants n’auront pas cet avantage.

Apprendre à bien être référencé grâce au SEO

Pour consulter l’autorité de domaine d’une page, différents outils gratuits sont à disposition tels que Moz et Ahrefs ou encore Majestic. Pour obtenir le score d’une page, entrez simplement son adresse URL et comparez votre score à celui de vos concurrents.

Pour améliorer votre score d’autorité de domaine, vous pouvez utiliser les méthodes SEO classiques, en gardant à l’esprit qu’il s’agit d’un projet de longue durée. Produire du contenu qualitatif peut être une stratégie réussie pour recevoir plus facilement des backlinks et des contacts avec d’autres sites web. Pensez également à auditer la qualité de vos backlinks car certains peuvent avoir un impact négatif sur votre score de domaine d’autorité. Pour les empêcher d’affecter votre score, des outils tels que Google Search Console sont très utiles.

En bref, retenez surtout que l’autorité de domaine est un des meilleurs moyens de quantifier vos performances SEO !

La personnalisation de contenus en marketing B2B

Faut-il personnaliser son contenu en marketing B2B ?

Si la réponse à cette question est oui en B2C, elle peut paraître moins évidente en B2B. Seismic et Demand Metric se sont posés la question et ont réalisé une étude approfondie sur le sujet.

Selon cette étude, 60% des entreprises personnalisent leur contenu. Parmi celles-ci, 48% ont trouvé le contenu personnalisé plus performant tandis que 32% l’ont trouvé beaucoup plus performant. Avec de tels résultats, on peut se demander pourquoi les 40% d’entreprises restantes ne personnalisent pas leur contenu.

La technologie, un frein à la personnalisation ?

Toujours selon Seismic et Demand Metric, seulement 14% des répondants ne perçoivent pas les intérêts de la personnalisation. Les 86% restants font quant à eux face à des problèmes de ressources : un manque de technologie, un manque de bande passante, ou encore l’absence des données nécessaires.

En raison de ces limites technologiques, un quart des répondants a affirmé réaliser le processus de personnalisation entièrement manuellement tandis que plus de la moitié utilise un mélange de processus automatisés et manuels. Il est donc très rare d’entièrement automatiser la personnalisation, en cause la technologie, qui reste la principale limite. Les répondants ont également affirmé que, lorsque possible, le geo-targeting et la personnalisation par profil démographique étaient les stratégies les plus efficaces.

Quel niveau de personnalisation et quel type de contenu ?

L’étude s’est également intéressée au niveau de personnalisation idéale. Les résultats de l’étude montrent que les meilleurs résultats sont obtenus lorsque 20% à 40% du contenu est personnalisé. Cependant, l’écart bien que significatif, n’est pas écrasant. Ne traitez donc pas cette information comme une vérité absolue, mais plutôt comme une indication à adapter selon votre contenu. 

L’étude poursuit en s’interrogeant sur le type de contenus à personnaliser pour obtenir les meilleurs résultats. Ici encore, il n’y a pas de vérité absolue. Les résultats varieront en fonction de votre cible et de vos objectifs. Pour vous aider dans votre processus de test, vous pouvez reprendre la méthodologie de l’étude qui établit cinq types de personnalisation différents : le contenu personnalisé pour une industrie, une entreprise, un type d’acheteur, un contact particulier et une étape du processus d’achat.

Selon l’étude, personnaliser le contenu selon une industrie est très populaire, pour un type d’acheteur ou une entreprise un peu moins, tandis qu’il est assez rare de personnaliser pour un contact particulier.

Pour résumé, si l’efficacité de la personnalisation n’est plus à démontrer, la technologie pour y parvenir est encore limitée et son ROI n’est donc pas toujours convaincant. La personnalisation n’est donc pas un « must-have » pour le moment. Toutefois, à mesure que la technologie s’améliore, elle ne cessera d’être de plus en plus efficace. Il s’agit donc sans aucun doute d’une stratégie à suivre de très près dans les années à venir.