L’étude de cas : incontournable pour renforcer la confiance en sa marque

En marketing, l’un des principaux objectifs est de développer la confiance envers votre marque, qu’il s’agisse de la confiance de vos prospects comme celle de vos clients actuels. L’étude de cas est un outil idéal pour y parvenir : rien de tel que qu’un cas concret de l’un de vos clients pour améliorer la confiance en votre entreprise.

Qu’est-ce qu’une étude de cas ?

Une étude de cas prend la forme d’une interview visant à extraire autant d’informations utiles et pertinentes que possible du client que vous choisirez de mettre en avant. Avant tout, il vous faut donc choisir le bon client en fonction de son usage de votre solution et de ses résultats. Une fois la perle rare trouvée, il vous faut la convaincre de participer. Sachant qu’une étude de cas bien écrite sera bénéfique à la fois à votre entreprise et à la sienne cela ne devrait pas être le plus difficile. Pensez toutefois à bien lui exposer les raisons et votre manière de procéder. Prenez également en compte que votre client prend de son temps pour répondre à vos questions, soyez donc le plus flexible possible. Si votre interlocuteur n’est pas disponible, n’hésitez pas à lui proposer d’échanger en visioconférence, au téléphone ou encore par e-mail.

Définir l’objectif de votre étude de cas

Une fois que vous avez défini les formalités, il vous faut clarifier votre objectif afin de savoir quelle direction prendre durant l’interview. Pour vous aider, répondez aux questions suivantes : que voulez-vous que vos lecteurs tirent de cette étude de cas ? Voulez-vous mettre en avant une solution ? Voulez-vous améliorer votre brand awareness ? Etc. Une fois que vous aurez défini votre objectif, vous pourrez organiser un brainstorming afin de trouver les questions les plus pertinentes pour l’atteindre. 

Organiser votre interview

N’hésitez pas à communiquer ouvertement votre objectif avec le client interviewé, il appréciera la transparence et cela lui permettra de mieux vous répondre. Pensez également à lui demander s’il aimerait partager certaines informations. Il est fort probable qu’il ait des éléments intéressants à vous échanger auxquels vous n’aurez pas forcément pensé. Dernière étape avant de commencer l’interview, envoyez lui votre liste de question. Cela lui donnera le temps de se préparer, d’éviter d’être pris au dépourvu et de considérer ce qu’il souhaite ou ne souhaite pas communiquer. Cela vous assurera de ne pas rater des informations de qualité.

Dernière étape : la mise en page 

Une fois que vous avez collecté toutes les informations dont vous avez besoin, il ne vous reste plus qu’à formater votre document final. L’objectif est de rendre l’information le plus digeste et compréhensible possible. L’étude de cas doit également pouvoir être consultée en une poignée de minutes. N’hésitez donc pas à prendre des libertés et créer des paragraphes pour faciliter la lecture. Pensez également à mettre en avant les chiffres clés ainsi que certaines citations. Une fois le document préparé, pensez à le faire relire par votre client avant de le publier. Une fois son feu vert obtenu, il ne vous reste plus qu’à diffuser votre étude de cas pour alimenter votre stratégie d’inbound marketing.

 

 

Améliorer son parcours client pour augmenter sa rétention

Attirer pour mieux retenir

Pour qu’une entreprise performe elle ne doit pas se contenter d’attirer de nouveaux clients, elle doit également s’assurer qu’ils restent. Pour y parvenir, il est essentiel de s’assurer de la qualité du parcours client. En effet, l’expérience autour de votre solution est aussi importante que la solution en elle-même.

Construire une map

Pour garantir la qualité de votre parcours client, la première étape est de le définir et de dresser une map de sa situation actuelle. Cette map prend le plus souvent la forme d’une frise chronologique, format facilement compréhensible et illustrant les étapes par lesquelles vos clients passent. Il est néanmoins possible que certains clients reculent d’une étape avant d’avancer à une autre et changent de trajectoire. Il est donc important de garder cela à l’esprit lors de l’analyse de votre map.

Pour la dresser, il vous faut déterminer les différents stades de votre parcours client ainsi que les données quantitatives et qualitatives à mesurer. Cela inclut notamment la mesure du sentiment ou de la volatilité. Ces données vous aideront par la suite à segmenter votre base de clients entre ceux appréciant leur expérience client et ceux ne l’appréciant pas. Vous pourrez ensuite mettre en place des actions ciblant les clients non satisfaits afin de rectifier le tir.

Identifier les points de contacts

Autre point important, l’identification des points de contact entre votre entreprise et vos clients. Un point de contact est une situation dans laquelle un consommateur s’engage avec votre entreprise. Cela peut être à travers un email, un appel, un ticket avec le support, ou encore un chatbot. Vous pouvez également considérer l’utilisation de votre produit et les visites de votre site web, pensez toutefois à différencier ces interactions passives, des échanges directs. Une fois que vous avez défini vos points de contact, il vous faut mesurer leur impact : était-ce un échange proactif ou réactif ? Une expérience positive ou négative ? Est-ce que cela a fait avancer le client dans le parcours client ou au contraire reculer ?

Une fois cette map prête, vous pouvez commencer à mesurer des données et à observer la façon dont vos clients suivent votre parcours client. Ces observations vous permettront de comprendre à quel rythme ils avancent, quand et pourquoi entrent-ils ou sortent-ils et quelles sont leurs attentes. Avec ces informations, vous pourrez réaliser un quick win en faisant de petites améliorations qui feront une grande différence.

Pour aller plus loin, il vous faudra utiliser vos analyses afin de concevoir votre parcours client idéal en repartant de zéro. L’idée n’est plus d’améliorer l’existant, mais de dresser votre objectif final. Une fois cet objectif dressé, il ne vous restera plus qu’à entreprendre de grands travaux sur votre parcours client afin de le rapprocher, étape après étape, de votre parcours client idéal. 

     

     

    Le smarketing, ou comment aligner les équipes commerciales et marketing autour d’objectifs communs

    Aligner efficacement les deux équipes pour garantir des résultats optimaux

    Le smarketing consiste à rassembler les équipes commerciales et marketing dans le but de créer des objectifs communs et d’améliorer leur coordination afin d’augmenter la génération de leads, acquérir davantage de clients et augmenter les revenus de l’entreprise. 

    Pour y parvenir, le plus important est d’aligner les objectifs des deux équipes. Si leur objectif final est le même – augmenter les revenus de l’entreprise – elles peuvent avoir des objectifs intermédiaires opposés. 

    Répondre à un objectif commun

    L’entonnoir de vente se divise en trois étapes majeures : la reconnaissance de la marque, la considération et la décision. Mesurer le nombre de contacts à chacune des étapes du tunnel et les taux de conversion peuvent aider une entreprise à déterminer si elle va ou non atteindre ses objectifs. Les équipes marketing et commerciales sont responsables de différentes parties du tunnel. Alors que l’équipe marketing s’occupe de la phase allant d’attirer des visiteurs à générer des leads qualifiés, l’équipe commerciale est responsable de transformer ces leads qualifiés en vente. Chaque étape du tunnel dépend du succès de l’étape précédente, il est donc essentiel que chacune des deux étapes ait une visibilité complète sur les performances de l’autre et qu’elles collaborent tout au long du processus. En se concentrant uniquement sur les parts du tunnel dont elles sont responsables et en cherchant à gonfler leurs propres KPIs, les équipes commerciales et marketing peuvent être contreproductives pour l’entreprise dans son ensemble. 

    Afin d’aligner leurs objectifs, il est donc préférable de considérer le revenu final comme principal indicateur de performance. Ainsi, les objectifs des deux équipes seront mieux alignés, ce qui les amènera à collaborer.

    Mettre en place une stratégie de smarketing

    Afin de s’assurer que leur collaboration soit un succès, les deux équipes peuvent établir un accord entre services auxquelles elles doivent se tenir. Par exemple, l’équipe marketing peut s’engager à livrer un certain nombre de leads tandis que l’équipe commerciale peut s’engager à recontacter les leads un certain nombre de fois. Ce type d’accord peut également servir à définir précisément ce qu’est un lead qualifié afin d’éviter l’incompréhension et s’assurer que les deux parties poursuivent bien le même objectif. Ici, l’idée est vraiment d’échanger, communiquer, et s’assurer d’être sur la même longueur d’onde.  

    Gardez toutefois à l’esprit que tout ne fonctionnera pas parfaitement dès le départ et que de nombreux ajustements seront probablement nécessaires. C’est pourquoi, il est important que les deux équipes se fournissent mutuellement des feedbacks. Ces feedbacks pourront ensuite être utilisés pour réajuster l’accord entre services, les objectifs ou encore s’échanger des best practices et mettre à jour les buyer personas.

    Pensez également à exploiter toutes les fonctionnalités de votre CRM pouvant faciliter votre collaboration. Par exemple, en autorisant chacune des deux parties à consulter les progrès de l’autre ou encore automatiser des rappels pour relancer les prospects. L’équipe marketing peut également taguer les leads qualifiés comme tels dans le CRM afin de faciliter la tâche de l’équipe commerciale. Selon les cas de figure et les logiciels, il existe de nombreuses façons créatives d’améliorer votre collaboration.

    Le b.a.-ba du marketing B2B

    Seule une lettre distingue le marketing B2C du marketing B2B mais pourtant, beaucoup de choses les différencient. Alors même si l’on peut souvent faire des parallèles entre les deux, il est important de connaître les spécificités du B2B.

    Le marketing B2B représente l’ensemble des techniques marketing des entreprises qui concentrent leurs activités sur le commerce inter-entreprises. On tient là la première différence majeure avec le B2C dont découle toutes les autres. En B2C, les biens et les services sont destinés à la grande consommation et aux particuliers, on a donc une masse de petits clients. En B2B, une poignée de clients, dit grands comptes, peut représenter une part importante du chiffre d’affaires d’une entreprise.

    Compte tenu de cette distinction et du montant des transactions, le processus d’achat est bien plus développé en B2B. Si les consommateurs B2C peuvent céder aux achats compulsifs, ce n’est jamais le cas en B2B. Le processus d’achat s’articule toujours autour de cinq phases majeures :

    1. La prise de conscience du besoin

    Il vous est possible de contribuer à cette prise de conscience de bien des manières (commerciaux, publicité, contenu) pour prendre une longueur d’avance sur la concurrence.

    2. La définition du produit/prestation

    Une fois le besoin identifié par le prospect, il va effectuer de premières recherches pour obtenir davantage d’informations et dresser son cahier des charges. Une bonne présence sur le web vous aidera déjà à rentrer dans la liste de considération du prospect.

    3. La recherche de fournisseurs et la présélection

    C’est la suite naturelle de l’étape précédente, la recherche de fournisseurs ou de prestataires. Encore une fois, votre présence sur le web joue un rôle capital dans cette étape.

    4. La négociation

    Après avoir sélectionné une poignée de fournisseurs ou prestataires potentiels, le prospect va vouloir négocier pour obtenir le meilleur tarif possible. Si vous arrivez jusqu’ici, c’est que vous avez fait du bon travail et vous pouvez laisser les équipes commerciales prendre le relai.

    5. La décision finale

    Une fois que le prospect a toutes les informations en main, il va décider si vous êtes ou non l’heureux élu.

    Avec un processus si complexe, vous vous en doutez, l’acquisition de clients l’est également. Attendez-vous à ce que chaque acquisition prenne du temps et agissez en conséquence : diffusez du contenu continuellement afin de rester dans l’esprit de vos cibles et multiplier les points de contact. Assurez-vous également que l’ensemble de vos actions soit cohérent. Pour y parvenir, n’hésitez pas à aligner vos équipes de marketing et de ventes : c’est ce que l’on appelle le smarketing. Cette collaboration vous permettra de plus facilement identifier les buyer personas (que votre équipe vente connaît très bien) et améliorera votre taux de conversion. Enfin, ne négligez pas l’importance de la fidélisation. Compte tenu de la difficulté d’acquérir de nouveaux clients, et de leurs importances, vous ne souhaitez pas avoir à renouveler le processus à chaque fois. Évitez donc de considérer vos clients actuels comme acquis et redoublez d’efforts pour vous assurer de leur satisfaction et donc, de leur fidélité

    6 conseils pour réussir vos événements virtuels

    Depuis mars 2020, les salons virtuels professionnels ne cessent de gagner en popularité. Selon Bizzabo, spécialiste du domaine, 93% des organisateurs d’événements marketing prévoient d’investir davantage dans les événements virtuels à l’avenir. Et pour cause, ils rencontrent un grand succès. En effet, ils sont 80,2% à affirmer atteindre une audience plus grande tandis que 54% des personnes s’inscrivant à un événement y assistent vraiment.

    À mesure que le format se démocratise, de plus en plus d’événements sont organisés. Si l’opportunité est intéressante, il faut savoir se distinguer de la concurrence

    Nous vous présentons nos 6 conseils pour réussir vos évènements virtuels, et vous distinguer de la concurrence :

    1. Collaborer avec les équipes commerciales pour organiser vos événements

    Elles pourront apporter leurs idées de sujets et vous aider à identifier les axes de discussion. Par ailleurs, elles pourront vous permettre d’obtenir des feedbacks sur vos événements et savoir quels sujets ont résonné avec votre audience. Comptez également sur les commerciaux pour communiquer sur l’événement et apporter un bon nombre de participants.

    2. Permettre à votre audience de s’engager

    Lorsqu’une personne participe à un événement virtuel, elle s’attend à une proposition dynamique et à pouvoir s’exprimer. Autrement, elle n’a qu’à lire un rapport pour avoir la même information. N’hésitez donc pas à animer votre événement en multipliant les intervenants, en activant leurs caméras, en proposant des sondages ainsi qu’en terminant votre événement par une session de questions et réponses.

    3. Tenir des événements exclusifs en comité réduit

    Si vous avez la possibilité d’organiser un événement de grande ampleur, il n’y a pas de raison de s’en priver. Cependant, ces derniers nécessitent d’importantes ressources là où un salon en plus petit comité est plus simple à organiser. Par ailleurs, les participants peuvent apprécier le sens de l’exclusivité et la possibilité de facilement s’exprimer.

    4. Concevoir votre propre process
     

    L’organisation de chaque évènement vous apportera de l’expérience et des connaissances qui facilitera l’organisation du suivant. N’hésitez pas à utiliser ces connaissances pour concevoir votre propre process. Cela vous permettra non seulement de gagner en efficacité, mais également de concevoir un format dans lequel vos participants réguliers trouveront leurs repères.

    5. Réaliser des partenariats avec d’autres acteurs de votre écosystème

    En coproduisant un événement virtuel avec un autre acteur de votre écosystème non-concurrent, vous cumulerez vos audiences respectives. Lorsque le sujet s’y prête, ce type d’événement est donc un bon moyen d’élargir votre propre audience. Pensez toutefois qu’il vous faudra probablement échanger les informations des participants avec l’entreprise partenaire.

    6. Exploiter l’évènement au maximum

    Vous avez fourni énormément d’efforts pour organiser un événement, il serait dommage de ne pas en profiter autant que possible. Pensez à enregistrer l’événement pour pouvoir exploiter ce contenu. Vous pouvez par exemple diffuser l’enregistrement sur votre site web ou publier des extraits sur les réseaux sociaux. Ainsi, votre événement continuera d’alimenter votre stratégie d’inbound marketing pour les jours voir les semaines à venir.

       

       

      Comment et pourquoi mener des études marketing ?

      Définir une stratégie marketing

       

      Si l’on parle souvent de marketing opérationnel en B2B, il ne faut pas pour autant négliger la partie stratégie. Comme son nom l’indique, l’objectif est de définir ou de redéfinir la stratégie de votre entreprise afin de l’adapter aux besoins du marché. Pour vous guider dans cette tâche, vous pouvez vous reposer sur le marketing research, notamment sur des études consommateur. Ces dernières sont bien connues dans le monde du B2C, car elles sont plus simples à réaliser avec des produits de grande consommation. Elles s’avèrent toutefois très utiles dans le monde du B2B et vous apporteront une meilleure connaissance de vos clients, qui vous permettra à la fois d’améliorer votre stratégie marketing, mais aussi d’aiguiller la conception de vos produits ou solutions.

      Recueillir des insights

      S’il y a bien un mot à retenir en marketing research, c’est le mot insight. L’insight, c’est une constatation rendue possible grâce à la perception d’un consommateur qui permet à une entreprise de cibler une situation en particulier. En marketing research, on mène des études afin d’en tirer des insights sur les consommateurs et sur le marché. Ces études peuvent être menées par des instituts spécialisés, mais cela peut rapidement être très coûteux. Si vous avez des attentes et un budget plus faible, vous pouvez également mener des études en interne à l’aide de votre base CRM. Gardez toutefois à l’esprit que ce travail nécessite des compétences bien particulières et qu’il est préférable d’avoir un collaborateur spécialisé.

      Une étude marketing peut vous apporter une grande variété d’informations en fonction de vos objectifs : comprendre comment votre marque est perçue,  ce que vos clients veulent, qui sont vos concurrents, mesurer la satisfaction de vos clients, découvrir la customer journey ou comment vos clients ont découvert et acheté votre produit ou service, ainsi qu’établir des personas qui vous aideront à concevoir vos campagnes marketing.

      Définir vos objectifs

      Il est capital de bien définir votre objectif et de ne pas trop vous disperser au sein d’une même étude. Définissez votre besoin en profondeur afin de ne rien oublier. Il serait dommage de ne pas obtenir une information utile simplement car vous n’y avez pas pensé dans la conception de votre étude. L’objectif de l’étude va également définir la méthodologie à suivre : qualitative ou quantitative. Une étude qualitative peut consister en un questionnaire à questions ouvertes, mais il s’agit le plus souvent de discuter directement avec les répondants afin de collecter leur opinion. Ce type d’étude permet d’obtenir des informations très détaillées, mais cela peut prendre du temps et l’analyse est plus difficile, car les résultats ne sont pas chiffrables. Il est impossible de savoir si les opinions que vous avez collectées sont partagées par nombre de vos clients ou simplement par une minorité. Ce type d’étude est donc idéal pour aborder un sujet sur lequel vous n’avez que peu de connaissances afin de comprendre ce qui se passe et d’obtenir des pistes qui ouvriront votre réflexion

      Au contraire, une étude quantitative démarre d’une sélection de pistes et vise à les vérifier et les quantifier. Ici, vous guidez les répondants avec des questions prédéfinies et des réponses fermées. Cela vous permet de vous assurer que les réponses sont standardisés et qu’elles pourront être mesurées. Vous pourrez ainsi en tirer des KPI sur lesquels appuyer vos décisions

      Une fois que vous avez défini vos objectifs il ne vous reste plus qu’à concevoir un questionnaire dans le cadre d’une analyse quantitative ou le déroulé des interviews dans le cadre d’une analyse qualitative. Vous pouvez ensuite envoyer votre questionnaire à votre base CRM, commencer à collecter des réponses et les analyser afin d’en tirer les précieux insights. Il ne vous reste plus qu’à les exploiter afin d’améliorer la stratégie de votre entreprise !